Chaque élève équipé de leur babiole autour du cou, paré à pénétrer dans les dortoirs qui ont été déserté pour l'événement. Il fait nuit dehors, nous sommes aux alentours de deux heures et quelques du matin, le couvre feu a été levé uniquement pour toi, Invité, ainsi que les comparses qui t'accompagnent. Vous demeurez tout de même peu nombreux, et la prudence est de mise.

Refoulant les peurs qui vous agrippent, tous décident de rentrer dans le dortoir en hâtant le pas. Par prudence, le professeur qui vous accompagne (ici Angelo Koslov) vous demande de chercher d'éventuelles preuves et choses qui pourraient vous mettre sur la piste, vous et votre groupe. Attention, le directeur a promis de rembourser chaque élève du groupe résolvant en premier le mystère.

A vous de trouver les indices selon votre implication (ou votre ordre de postage)


Attention, faites preuve de courage, la patience et la prudence se doit d'être omniprésente !

Je marchais d'un pas las dans les couloirs sombres et ténébreux, n'inspirant pas la confiance qui, pourtant y régnait. Ces couloirs étaient ceux de l'académie Asafumi, cette académie, si particulière, ces élèves si particuliers, ces groupes si étranges. Elle n'en demeurait pas moins attrayante, voilà un grand moment que je m'y trouvais et que je la trouvais simplement succulente. Très agréable à parcourir, la solidarité entre membres y était agréable et sympathique, les journées variaient chaque jour selon l'attraction que je trouvais à faire.

Pourquoi étais-je là, vous vous demandez sans doute. Eh bien, nous recherchons actuellement un fantôme, les dortoirs Wondèl et Délius furent ensorcelés, afin que chacun de ses habitants dorme jusqu'à ce que nous ayons fini, juste pour que nous puissions mener l'enquête. Le bouche à oreille avait fait le tour de l'Académie, alimentant les cerveaux de ces ragots dont l'appétit ne tarissait jamais, embellis par chaque bouche qui répétait ce vicieux mensonge... Enfin, en était-ce vraiment un ?

Ne sachant pas pourquoi je m'y étais inscrit, j'avais dores et déjà envie de partir. Les fantômes, ça faisait tellement peur... Certes, mon voisin Yïlena fan de sciences occultes s'était pris au jeu, croyant à une mise en garde contre cette Académie qu'il appelait maudite depuis quelques jours, et qui, au passage, m'empêcher de dormir avec ses nombreux rituels satanique. Mais c'était ça au dortoir des Yïlena, pour la plupart, ils étaient tous cinglés ! Je ne plaisantais pas quand je disais ça..

Nous marchions donc, en cortège derrière ce professeur qu'était Angelo Koslov. Je n'avais pas eu l'occasion de lui parler, ni rien d'autre. J'étais entouré de tout ces comparses, mais ils ne faisaient pas tous parti du dortoir de Yïlena : Il y avait plusieurs Urthegardes, quelques Délius... Tous rassemblés pour lever le voile sur ce mystère.

Nos pas, qui se voulaient discrets, nous menèrent très vite dans le dortoir à explorer. Amulette autour du cou, nous étions -pour la plupart- paré à toute éventualité, si bien que j'en devenais paranoïaque ! A chaque petit bruitage suspect, je sursautais. Je suppose que beaucoup des gens de notre groupe l'avaient remarqué...

Alors que le professeur poussa doucement la porte d'ouverture du dortoir des Wondèl, nous entrions à pas de loup. Des dizaine de visages endormis et serein s'avéraient se trouver à leur place, allongés ou renfrognés dans leur couvertures. Le professeur ne nous dit pas quoi faire, mais nous savions comment il fallait opérer. Je me dirigeais vers le fond de la salle, cherchant un quelconque indice qui pourrait révéler un possible usurpateur, ou un trace quelconque de fantôme.

Je soulevais quelques coffres posés à côté de lits, trouvant les babioles des élèves... Et certains objets plutôt sympathique : Bombe fumigène, peluches kangourou, boules ultra-puantes, cartes de jeux, ou encore des stylos écrivant seul les notes. Quels feignants ses élèves ! Alors que je me dirigeais vers mon 4e coffre, je glissais soudain sur le sol... Une chose visqueuse m'avait fait dérapé ! Qu'était-ce donc ?

Alors que je me relevais, je découvrais de l'huile sur le sol. Ah, d'accord. Tout allait bien, rien de spécial. Je me relevais, en essayant d'essuyer et de retirer l'huile qui me faisait glisser, sans arriver à rien. Je ne m'attardais pas sur cela et continuait mes recherches... Les coffres des élèves étaient plutôt personnel, ça ne me plaisait pas vraiment de les ouvrir pour chercher quelque chose. Mais bon, n'était-ce pas pour la bonne cause !?

Alors que je me tenais prêt à signaler que je n'avais rien trouver, je tombais sur une petite caisse à côté d'un lit. Je m'exclamais alors, dans un élan de joie, que j'avais trouvé un objet semblable au saint graal. Non, en fait, lorsque j'ouvris la caisse je découvris qu'il ne s'agissait que d'une caisse de cacahuètes.